Bien qu’ils n’aient pas été en mesure de déterminer s’il s’agit réellement d’appels à l’aide de la part des plantes ou tout simplement d’une réaction purement physiologique, les chercheurs pointent la nécessité d’approfondir les recherches dans le domaine de la bioacoustique végétale.

« À une époque où de plus en plus de zones sont exposées à la sécheresse en raison du changement climatique, les émissions sonores des plantes pourraient offrir un moyen de surveiller l’eau des cultures et éventuellement l’état des maladies — des questions d’une importance cruciale dans l’agriculture. Une irrigation plus précise peut permettre d’économiser jusqu’à 50 % des dépenses en eau et d’augmenter le rendement, avec des implications économiques spectaculaires », soulignent ces derniers.