Le signal correspondait alors à l’activité attendue pour la patte paralysée lorsque le rat se déplace. Au bout de quatre semaines, les myocytes implantés étaient toujours vivants et il n’y avait aucune trace de cicatrisation. Il faudra des recherches plus poussées avant de pouvoir passer à des essais cliniques sur des humains. Toutefois, cette technique pourrait permettre de reconnecter des nerfs sectionnés chez les personnes paralysées, et même être utilisé pour commander des prothèses après une amputation.