Les trois chercheurs ont en effet montré par des  que certaines de ces étoiles noires pourraient briller essentiellement avec l’annihilation de matière noire et pas, ou peu, du fait de réactions thermonucléaires. Par contre, elles ne seraient plus sur la séquence principale – pour les plus massives au moins. Surtout, ces étoiles éternelles auraient précisément les propriétés permettant d’expliquer l’existence des étoiles de l’amas Sagittaire A*.

On peut suspecter une autre conséquence de la théorie des étoiles noires immortelles. Les simulations montrent que pour les plus légères d’entre elles, l’ dégagée les fait se dilater au point de ressembler peut-être aux fameux objets G détectés autour de Sgr A*.