Une percée réalisée par des scientifiques canadiens permet d’espérer une restauration partielle de certaines fonctions cognitives chez des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Les chercheurs de l’Université Laval, à Québec, et de l’Université de Lethbridge, en Alberta, affirment être parvenus à renverser certains symptômes cognitifs associés à l’alzheimer dans un modèle animal, et non seulement à ralentir la progression de la maladie.
Même si la démonstration reste à faire chez l’humain, nous pensons que le mécanisme que nous avons mis en lumière constitue une cible thérapeutique très intéressante parce qu’il ne se limite pas à ralentir la progression de la maladie, mais qu’il permet de restaurer en partie certaines fonctions cognitives.
Une citation deYves De Koninck, professeur à la Faculté de médecine et chercheur au Centre de recherche CERVO de l’Université Laval