vendredi 26 avril 2024

Revue de presse du lundi 12 novembre 2012

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  L’essentiel de l’actualité nationale telle qu’elle a été relatée par les quotidiens marocains du lundi 12 novembre 2012 :

 

AL BAYANE

 

-Relations maroco-algériennes: Quand la presse d’Alger sème l’intox. A quoi jouent les médias algériens? Dans son édition du samedi 10 novembre, le journal francophone « Al Watan » a publié dans ses colonnes un article dont le contenu relève d’une approche purement propagandiste au lieu de se plier à la véritable obligation du journalisme, celle du devoir d’informer objectivement. Intitulé « Après le discours du Roi du Maroc: grosse colère à Alger », le papier signé par un certain Hassan Moali se livre à une analyse qui laisse perplexe. D’ailleurs, l’auteur viole l’une des règles élémentaires de la pratique journalistique en faisant l’impasse sur les sources de son papier, surtout lorsqu’il s’agit d’un gros dossier comme celui des relations maroco-algériennes.

 

L’OPINION

 

-Interdiction aux médecins du secteur public d’exercer dans le privé: Polémique naissante autour des cliniques de la CNSS épargnées par la décision. La décision annoncée jeudi par le gouvernement d’interdire aux médecins du secteur public d’exercer dans le privé a été accueillie par des positions mitigées mais globalement favorables. C’est le cas notamment du Syndicat national des cliniques privées qui, tout en saluant la décision, pose non sans défi une question centrale. Les 13 cliniques dépendant de la CNSS sont-elles aussi concernées? Selon le président du syndicat, Ahmed Filali, si la décision gouvernementale est très bonne, il faut qu’elle s’applique à toutes les cliniques, notamment celles dépendant de la CNSS qui monopolisent le plus grand nombre de médecins du secteur public.

 

AUJOURD’HUI LE MAROC


-Devant la décision d’interdire aux médecins du public d’exercer dans le privé, les représentants du secteur libéral pointent du doigt les cliniques de la CNSS: Les médecins du privé craignent un « deux poids, deux mesures ». Après l’interdiction, par le ministère de la santé, d’exercer dans le privé pour les praticiens du public, les médecins montent au créneau. Ils craignent que cette décision ne soit pas généralisée, pointant du doigt les polycliniques de la CNSS. Des doutes planent aussi sur la capacité du ministère de la santé à faire appliquer cette décision qui ne date pas d’aujourd’hui, selon les professionnels. L’interdiction étant prévue par la loi depuis 1996.

 

LIBERATION

 

-Négociations de pêche entre Rabat et l’UE: Le premier round dévoile les divergences des parties. Le premier round de négociations entre le Maroc et l’UE pour renouveler l’accord de pêche s’est terminé vendredi dernier sans arriver à des résultats tangibles, mais les deux parties se sont mises d’accord pour une nouvelle rencontre en décembre prochain à Bruxelles.

 

-Les affiliés de la CNOPS mis à l’index: Le Maroc doit 10 millions d’euros aux hôpitaux parisiens. Le Maroc a une dette d’environ 10 millions d’euros envers l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Un chiffre contesté par la Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale (CNOPS) chargée du traitement des demandes de prise en charge, des transferts à l’étranger et de l’accord de remboursement. Selon les responsables de cette Caisse, ce montant global comptabilise également les soins qui ne sont pas pris en charge par ladite Caisse.

 

LE MATIN DU SAHARA ET DU MAGHREB

 

-Loi de Finances 2013: Réponse du ministère de l’Economie aux critiques des parlementaires. Le binôme du ministère de l’Economie et des Finances a opté pour un discours clair, à peine voilé, en guise de réponse, vendredi, aux critiques des députés tant de la majorité que de l’opposition. Après avoir mis en exergue le grand intérêt porté par le gouvernement à l’ensemble des discussions entamées au sein de la Commission des Finances, Nizar Baraka a été on ne peut plus clair devant les députés. Pour lui, « dans ce contexte de crise, il est primordial de dépasser nos conflits et nos différences pour l’intérêt général du pays et que chacun de nous joue pleinement son rôle avec responsabilité et courage ». Le ministre des Finances voit ainsi en ce projet de loi de Finances l’occasion idoine pour consolider les acquis et contrecarrer les impacts socioéconomiques de la crise. Sur ce volet, il a fortement critiqué les députés quant à l’absence, lors des débats, de toute vision pour affronter la crise et donné tort à ceux qui disent que le projet contient des dispositions tendant à répondre aux préoccupations de certaines catégories ou lobbys au détriment d’autres.

 

LE SOIR ECHOS

 

-Les médecins du public dans le collimateur. Le ministre de la santé, El Houssein El Ouardi rappelle à l’ordre les médecins du public exerçant dans le privé. Il brandit l’arme des sanctions contre tout contrevenant. Leurs complices, à savoir les cliniques, risquent la fermeture en cas de non-respect de la loi. Certes, des tentatives ont été initiées par Mohamed Cheikh Biadillah et Yasmina Baddou pour mettre un terme à cette pratique illégale. Des circulaires avaient initialement été mises pour rappeler à l’ordre les médecins du secteur public, mais n’ont pas été respectées. Le phénomène a même pris beaucoup de l’ampleur et beaucoup se demandent si la mise en garde d’El Ouardi sera réellement prise au sérieux par les professionnels.

 

L’ECONOMISTE

 

-Budget: Azami tacle la CGEM. La sortie de la CGEM sur le projet de budget n’a pas laissé le gouvernement indifférent. Vendredi lors des discussions à la Commission des finances au parlement, Driss Azami Idrissi, ministre PJD du budget, a lancé un véritable réquisitoire contre la CGEM à laquelle il reproche de « s’être alignée pour la première fois dans l’opposition ». A l’issue de son conseil d’administration tenu la semaine dernière, le groupement des entreprises avait émis plusieurs critiques notamment sur les mesures fiscales du projet de loi de finances. Un ton qui, visiblement, n’a pas été du goût du ministre, qui tout en prônant la poursuite du dialogue, considère que c’est « le gouvernement politique qui est la seule institution constitutionnelle habilitée à décider si telle mesure est bonne ou non pour le pays ».

 

AL MASSAE

 

-Les services de renseignement US mettent en gardent l’Espagne contre les Marocains de Sebta et Melilia. Des rapports de la CIA et du FBI ont révélé des contacts entre des extrémistes appartenant à des organisations « terroristes » et des soldats musulmans dans l’armée espagnole.

 

-Le ministre de la Santé, El Houssein El Ouardi limoge l’actuel SG du ministère et membre du comité exécutif de l’Istiqlal, Rahal Mekkaoui, et le SG du PI, Hamid Chabat convoque la direction de son parti pour réfléchir sur la riposte à prendre dans les prochains jours.

 

-Des ressortissants africains participent à la marche de protestation organisée dimanche à Rabat à l’appel de l’ODT: Ils ont brandi des banderoles à travers lesquelles ils dénoncent la discrimination raciale et réclament leurs droits à la résidence et à l’emploi.

 

-Le président de la Cour des comptes, Driss Jettou entame sa mission par l’audit des grands plans sectoriels: Une source gouvernementale a révélé que les magistrats de la Cour vont d’abord passer au crible le « Plan Azur » avant de se consacrer à d’autres plans tels que le « Plan Maroc Vert ».

 

AKHBAR AL YAOUM AL MAGHRIBIA

 

-Les services de renseignements algériens tendent un piège à Abdelilah Benkirane sur les colonnes du journal « Al Ahram ». Après le scandale créé par la publication par le journal égyptien d’une interview montée de toute pièce avec le Chef du gouvernement, il s’est avéré que cette manoeuvre a été orchestrée par les services de renseignements algériens qui ont instrumentalisé un journaliste égyptien pour publier des déclarations fustigeant l’Envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara, Christopher Ross à l’occasion de sa visite au Maroc.

 

-Le gouvernement Benkirane rend doublement la monnaie à la CGEM: Le ministre chargé du Budget, Idriss Azami Idrissi a ainsi fait part de son étonnement de la position de la CGEM qui s’est alignée pour la première fois sur l’opposition, et critiqué vigoureusement le Patronat en déclarant que c’est « le gouvernement politique qui est la seule institution constitutionnelle habilitée à décider si telle mesure est bonne ou non pour le pays » et en affirmant que « l’époque de dicter des ordres est bel et bien révolue ».

 

-Une crise entre le RNI et le PAM met dans l’embarras le président du parti Salaheddine Mezouar suite à la polémique suscitée de nouveau sur les tenants et les aboutissants de l’intervention des autorités et du wali de la région d’Al Hoceima, Mohamed M’hidia pour le soutien du candidat du PAM, Mohamed Boudra à la présidence de la région en 2009, contre l’ancien ministre et dirigeant du RNI, Mohamed Abbou.

 

-Affaire de Khalid Alioua: Le Club des magistrats entrera-t-il en ligne? Des juges membres du Club ont estimé que la constitution d’un comité de soutien avec l’ancien PDG du CIH est une immixtion flagrante dans les procès en cours devant la justice et une tentative d’influer sur le déroulement du procès.

 

ASSABAH

 

-Arrestation dimanche au sein du tribunal de première instance d’Aïn Sbaa d’un avocat radié du barreau de Casablanca suite à son implication dans le détournement de fonds de ses clients. L’avocat en question a usurpé l’identité d’un confrère décédé en se présentant devant le Procureur général du Roi comme étant un professeur universitaire et avocat dans un dossier en examen. Des avocats présents l’ont dénoncé en lui ôtant son uniforme.

 

-L’Istiqlal réclame des comptes à Nizar Baraka, ministre de l’Economie et des Finances qui s’est plaint auprès du Chef du gouvernement des attaques virulentes des députés du groupe istiqlalien lors de l’examen en commission du projet de loi de finances. Selon des sources partisanes, Baraka sera convoqué à la réunion du Comité exécutif pour donner des explications sur les motifs qui l’ont poussé à se plaindre auprès de Benkirane au lieu de Hamid Chabat, SG de l’Istiqlal.

 

-La marche nationale, organisée dimanche par l’ODT, critique ouvertement le Chef du gouvernement Abdelilah Benkirane et des dizaines de citoyens, d’employés, d’immigrés et de diplômés chômeurs ont réclamé son départ et la dissolution du Parlement.

 

AL KHABAR

 

-Le Maroc et l’UE n’ont pas réussi à renouveler l’accord de pêche maritime: Les deux parties n’ont pas parvenu à un accord commun lors du premier round des négociations tenu à Rabat à cause des différends d’ordre technique et le campement de chaque partie à ses positions, en attendant le prochain round prévu à Bruxelles.

 

-L’arbitre du derby Raja-WAC conduit le président de la FRMF, Ali Fassi Fihri et Ahmed Ghaibi, président de la commission centrale de programmation et d’arbitrage, à rendre des comptes devant le Parlement, et ce suite aux nombreuses protestations contre l’arbitrage depuis le début du championnat Pro-Elite.

 

-L’Instance marocaine des droits de l’Homme accuse le gouvernement Benkirane et le ministre de la Justice, Mustapha Ramid de violer les dispositions de la Constitution: Elle appelle Benkirane à promulguer les lois organiques régissant le droit de grève, soulignant que la grève est un droit garanti par la Constitution ainsi que par les précédentes Lois fondamentales.

 

-Abderrahmane El Youssoufi, ancien Premier Secrétaire de l’USFP, retourne à la politique et soutient Fathallah Oualalou, Maire de Rabat et ancien ministre de l’Economie et des Finances qui a annoncé samedi sa candidature pour la direction du parti. Des sources ont indiqué que la candidature de Oualalou a embarrassé le camp des mécontents au sein du parti de la rose.

 

-Les participants à la marche populaire, organisée dimanche à Rabat par l’ODT, brandissent le slogan « Y en a marre » et appellent le Chef du gouvernement à « dégager » à cause de ses décisions impopulaires, particulièrement celles relatives à l’emploi, à la lutte contre la corruption et l’économie de rente et à la non-imposition de la taxe sur la fortune.

 

AL AHDATH AL MAGHRIBIA

 

-Le gouvernement « ouvre le feu » sur la CGEM : Le ministre chargé du Budget, Idriss El Azami a, lors de la réunion de la commission des Finances vendredi à la chambre des représentants, affirmé que le gouvernement, qui est le seul responsable devant le peuple, ne cèdera pas aux pressions exercées ou aux volontés dictées par la CGEM.

 

-Le ministre de l’Economie et des Finances, Nizar Baraka, indique que « la crise est devenue une réalité », ajoutant que le gouvernement cherche à travers le projet de loi de finances à trouver des solutions réelles à cette crise. Selon lui, le Maroc connaîtra deux années de vaches maigres au cours desquelles les maîtres mots seront la solidarité et la réforme fiscale.

 

ANNAHAR AL MAGHRIBIA+

 

-Un nouveau rapport du FMI, rendu public dimanche, annonce au Chef du gouvernement une hausse des taux du chômage et de l’inflation à cause de la faiblesse de la demande étrangère et la flambée des prix des produits alimentaires et des hydrocarbures.

 

-Le Chef du gouvernement Abdelilah Benkirane et ses ministres Mohamed El Ouafa, El Houssein El Ouardi, et Mustapha Ramid font face à des actions intentées en justice qui jouissent d’un fort soutien populaire et de l’appui d’associations de la société civile et des organisations des droits de l’Homme et d’avocats.

 

-Le SG de l’ODT, Ali Lotfi accuse le Chef du gouvernement, en marge de la marche de protestation organisée dimanche à Rabat, d’exploiter les souffrances des couches démunies, ajoutant que Benkirane a honoré sa promesse de porter atteinte au pouvoir d’achat des citoyens et de soutenir la corruption et l’autoritarisme à travers son slogan « Dieu pardonne ce qui est passé ».

 

AL ITTIHAD AL ICHTIRAKI

 

-Limogeage du SG du ministère de la Santé, Rahal Mekkaoui et annonce officielle de la vacation de ce poste de responsabilité dont la porte des candidature sera ouverte pour le pourvoir aux côtés d’autres hautes fonctions au sein du ministère. Ce limogeage intervient suite au creusement du fossé entre le ministre et le SG du ministère à cause du scandale de l’affaire des vaccins.

 

-Le Congrès mondial amazigh dénonce les déclarations « racistes » du président du groupe parlementaire PAM, Abdellatif Ouahbi à l’égard des Amazighs et condamne la sourde oreille de Ouahbi et du PAM vis-à-vis des différentes réactions d’acteurs amazighs et son refus de présenter des excuses à ce sujet.

 

ASSAHRAE AL MAGHRIBIA

 

-Driss Lachgar, Habib El Malki et Mohamed El Achâari officiellement candidats pour briguer le poste de Premier Secrétaire de l’USFP. Un dirigeant du parti de la Rose a par ailleurs fait savoir que la porte des candidatures est ouverte à l’ensemble des USFPéistes, niant l’existence d’un candidat plus favori que les autres pour redorer l’image du parti.

 

-Réunion, vendredi dernier, de la commission des finances à la Chambre des représentants: Le ministre de l’Economie et des Finances, Nizar Baraka défie l’opposition de justifier les critiques virulentes qu’elle a formulées à l’égard du projet de loi de finances et de présenter des réponses réalistes, non évoquées dans ce projet de budget, pour faire face aux contraintes de l’économie nationale.

 

AL ALAM

 

-Driss El Azami, ministre chargé du Budget, a, lors de la réunion de la Commission des Finances tenue vendredi à la Chambre des représentants, vivement critiqué les responsables de la CGEM qui ont estimé que le projet de loi de Finances manque d’audace. Il s’est dit étonné des positions de la CGEM particulièrement quand elle s’est alignée avec l’opposition pour s’opposer au projet de loi de Finances, ajoutant que l’ère de dicter les ordres est révolue.

 

-Un grand flou entoure la décision du ministère de la Santé concernant la baisse des prix des médicaments: Les autorités sanitaires sont appelées à préciser la date du début de la réduction des prix des médicaments, surtout qu’un grand nombre de citoyens ont été surpris de voir que cette décision n’est pas encore entrée en vigueur après s’être rendus dans des officines.

 

ATTAJDID

 

-Une étude récente réalisée par le Centre des études et des recherches pénales, supervisé par la direction des affaires pénales et de la grâce au ministère de la Justice et des Libertés détecte 14 dysfonctionnements dans le système de la justice pénale au Maroc, dont le surpeuplement, la corruption, le clientélisme, l’absence de la transparence et la complexité des procédures.

 

-Le ministre de l’Economie et des Finances, Nizar Baraka, défie l’opposition à présenter des données réalistes qu’il s’engage à adopter dans le projet de loi de Finances 2013. Lors de la réunion de la Commission des finances tenue vendredi à la chambre des représentants, Baraka a mis l’accent sur la nécessité de dépasser la logique « électoraliste » particulièrement quand il s’agit de grandes réformes structurelles.

 

RISSALAT AL OUMMA

 

-La note du ministère de la Justice sur les prélèvements sur les salaires des grévistes suscite une vague de protestations parmi les fonctionnaires et augure d’une grande tension sociale. Dans ce sens, l’Union syndicale des fonctionnaires, affiliée à l’UMT, a affirmé que cette note a jeté de l’huile sur le feu et attisé les tensions sociales face au trébuchement du dialogue social en raison de la non satisfaction par le gouvernement des revendications des fonctionnaires et de l’ensemble de la classe laborieuse.

 

-USFP: Début du compte à rebours en prévision du 9ème congrès national. Le parti de la Rose vit au rythme de la rude bataille entre les candidats potentiels pour succéder à Abdelouahed Radi. Ainsi, plusieurs dirigeants et militants du parti ont annoncé leurs candidatures au poste de Premier Secrétaire, dont celles de Mohamed Talbi, journaliste et membre du Conseil national, qui a décidé officiellement de présenter ce lundi sa candidature au président du comité préparatoire du congrès pour concurrencer Driss Lachgar, Habib El Malki, Fathallah Oualalou, Ahmed Zaidi et Mohamed El Achâari.

 

AL MOUNAATAF


-Marche de protestation dimanche à Rabat sous le signe « Y en a marre »: Des acteurs syndicalistes et de partis de la Gauche ont participé à cette marche initiée par l’ODT pour dénoncer la détérioration des conditions de vie et le creusement du fossé entre les différentes couches sociales dont certaines souffrent de la marginalisation.

 

BAYANE AL YAOUM

 

-L’Union nationale des ingénieurs marocains dénonce la décision du Trésorier général du Royaume et sollicite l’arbitrage du Chef du gouvernement : Elle a adressé une lettre au Chef de l’Exécutif pour intervenir d’urgence pour l’application saine des dispositions du statut des ingénieurs et prendre les mesures nécessaires visant à accélérer le règlement de leur situation, et ce après que le Trésorier général ait indiqué qu’il y a une autre alternative pour la mise en application du décret relatif à l’ordre des ingénieurs selon laquelle les ingénieurs et architectes ayant cumulé une ancienneté de dix ans dans le grade en 2011 ne seront pas promus en dehors du quota

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