Conscient que son combat sera «long», l’ancien président de la République, qui a confirmé son pourvoi en cassation, a affirmé qu’il ne se laissera «pas condamner alors que je suis parfaitement innocent des balivernes et des montages qui ont été construits contre moi».

«La question posée n’est pas de savoir si on m’aime ou si on ne m’aime pas, mais de savoir si le droit a été respecté, ou si la seule chose qui compte est qu’une institution couvre des comportements inacceptables dans le seul but de ne pas se désavouer?» s’est-il indigné.