Rachid Tahiri, alias Basirou, a été arrêté par les services de la polices judiciaire à Settat et ce suite à ses activités sur Facebook où il a l’habitude de diffuser des contenus fallacieux et sans relation avec la réalité marocaine.
En effet, et contrairement aux allégations de sa femme qui prétend que son mari ne faisait que défendre les marocains et leurs droits à la santé et à l’éducation, cet individu pratiquait autre chose que la liberté d’expression, principe consacré par la constitution et le droit marocains.
Les déclarations de l’épouse de «Basirou» ne sont que de fausses allégations, et pour s’en apercevoir il suffit de rappeler que le Maroc regorge de militants et syndicalistes qui réclament le droit à la santé, à l’emploi, à l’éducation et autres droits fondamentaux sans être poursuivies ni se soucier d’être interpellés; d’ailleurs, le Royaume connait, chaque année, plus de 14 mille formes de protestations se rapportant toutes à la défense des droits susmentionnés.
En effet, il s’est avéré que Basirou a été interpellé non pas pour les motifs prétendument avancés par sa femme et relayés par quelques sites électroniques et qui seraient liés à ses critique des services publics notamment les secteurs de la santé et de l’enseignement, mais pour avoir commis des faits strictement interdits par la loi et sanctionnés par les dispositions du code pénal. Le mis en cause a été arrêté sur instruction du parquet général près le tribunal de première instance de Settat, suite à plusieurs plaintes déposées par des organisations de la société civile l’accusant d’insultes et de diffamations à l’encontre des citoyens et des institutions.
Bsirou est également poursuivi, sur instructions du Procureur général du Roi près la Cour d’appel de Settat, et ce suite à la diffusion de vidéos où il avait l’habitude de s’attaquer au drapeau national par des termes méprisants, ce qui constitue une atteinte grave à l’un des symboles de la souveraineté nationale, et qui est réprimée par la loi.
Quelle relation y a-t-il entre le mépris du drapeau national et la défense du droit à l’éducation et à la santé ? La drapeau est l’un des symboles sacrés de la Nation qui ne peuvent être insultés ou brûlés, et tout acte de ce genre est considéré comme un crime odieux, et aucun pays au monde n’autorise de tels comportements abominables.
Au Maroc, il faut le rappeler à Mme Basirou et ceux qui la manipulent, il n’a jamais été question de restriction de libertés publiques ou individuelles, et ce n’est pas les allégations et autres déclarations fallacieuse de la femmes de Rachid Tahiri, ni les contenues abominables des vidéos de ce dernier qui vont contredire cette vérité.