vendredi 17 mai 2024

Affaire Bouachrine : pourquoi les avocats des victimes ont provoqué l’ire de Khadija Ryadi ?

-

Les Droits-de-l’hommistes marocains, à leur tête Khadija Ryadi, ancienne présidente de l’Association marocaine des droits humains, continuent de semer la zizanie en débitant un tissu de mensonges délibérés sur l’affaire Bouachrine, et ce avec l’irréductible malveillance de déformer la réalité.

Lors d’une conférence organisée, hier vendredi 31 mai à Rabat, par l’AMDH sous le thème trompeur: «l’affaire Bouachrine est une affaire d’Etat»!, l’ancienne présidente de l’AMDH, Khadija Ryadi, a beau essayer d’induire en erreur l’opinion publique, elle n’est pas parvenue à faire disparaître cette vérité : l’affaire Bouachrine et une affaire de droit commun et le directeur du quotidien arabophone Akhbar Al-Yaoum a été condamné à 12 ans de réclusion ferme par la Chambre criminelle près la Cour d’Appel de Casablanca, pour des crimes de droit commun, entre autres, «traite humaine, viols et harcèlements sexuels..» et non pas pour ses écrits ou pour une quelconque liberté d’expression, comme le prétend Khadija Ryadi, qui continue à soutenir fermement « le diable » dont elle estime qu’il est victime d’une «machination»..

La présence des membres du comité de défense des victimes de Bouachrine, a provoqué l’ire de Khadija Ryadi. Et pour cause, Me Abdelfettah Zahrach, Me Meriem Jamal Idrissi, Me Abdelfettah Zahrach, Me Habib Hajji, Me Mohamed Karroute et Me Mohamed El Hini ont rejeté les allégations et autres mensonges véhiculés par L’AMDH et le comité de défense de Bouachrine, sur le procès de ce dernier.

 

Les victimes de Bouachrine, sont des femmes qui ont été sexuellement agressées d’une manière sauvage, selon les dires de ces avocats qui soulignent que ses faits relèvent du droit commun, ajoutant que les accusations sont basées sur des crimes, des preuves et elles ne sont aucunement liées, contrairement aux allégations de Khadija Ryadi et consorts, à la liberté d’expression ou aux écrits de Bouachrine.

Les allégations colportées par ces Droits-de-l’hommistes marocains porter atteinte à l’intégrité de la justice et aux intérêts des victimes, et compromettent les principes d’un procès équitable, que Khadija Ryadi et son association ne cessent de « réclamer ».

Agacée et dérangée par ces détails qui ont démentis la version fallacieuse de l’AMDH et autres défenseur de Bouachrine,  Khadija Ryadi n’a trouver d’issue que de crier au complot et à une tentative de perturber cette conférence, mais les avocats des victimes de Bouachrine ne sont pas restés les bras croisés et ont élucidé à l’assistance les tenants et aboutissant de cette affaire, précisant que Taoufik Bouachrine a été arrêté et jugé sur la base de preuves irréfutables et que sont les vidéos, les déclarations des victimes et les aveux de l’accusé lui-même, 

Finalement, la conférence, supposée défendre Taoufiq Bouachrine et brouiller les pistes sur son affaire, a tourné au fiasco et démontré à l’opinion publique que Khadija Ryadi et consorts sont prêt à défendre le diable.

- Advertisment -