vendredi 10 mai 2024

À cause du Polisario: Cuba met l’Algérie en demeure, le régime militaire au bord de l’implosion

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La junte militaire algérienne est confrontée à une nouvelle débâcle. En effet,  Cuba, allié de longue date de l’Algérie, exige le remboursement d’une dette colossale sous peine d’expulser les étudiants et les  conscrits du Polisario, formés par les administrations de La Havane.

Cette tension entre Cuba et l’Algérie, met en lumière les conséquences désastreuses de la politique algérienne dans la région et son soutien aux milices terroristes du Polisario. Cuba, exaspéré par les impayés du régime algérien, menace d’expulser les membres du Polisario présentes sur son territoire si la dette colossale de 450 millions de dollars n’est pas réglée.

Cette situation met en exergue la décadence morale et diplomatique de la junte algérienne, qui n’hésite pas à sacrifier les intérêts du peuple algérien pour soutenir une cause perdue.

Pour la troisième fois, rapporte le journaliste et militant politique Maroco-brésilien Abdel Razzaq Nassib, Cuba a menacé l’Algérie d’expulser la délégation d’étudiants et de conscrits du Polisario, formés par les administrations de La Havane.

Cette décision, ajoute la même source, fait suite au refus du régime militaire algérien de payer les cotisations qu’il devait, estimées à 450 millions de dollars. C’est le montant des factures accumulées liées aux opérations de formation et aux entraînements dont ont bénéficié les délégations du Polisario envoyées par le régime militaire algérien à Cuba.

Depuis près de 50 ans, l’Algérie s’est engagée dans une spirale infernale en soutenant financièrement, militairement et diplomatiquement le Polisario. Cette milice séparatiste, loin de représenter les aspirations du peuple sahraoui, n’est qu’un instrument aux mains d’un régime algérien obsédé par l’expansion territoriale.

L’Algérie, qui se targue de défendre le soi-disant «droit des peuples à l’autodétermination», bafoue allègrement les principes qu’elle prétend défendre. En armant et en finançant le Polisario, elle alimente un conflit artificiel qui n’a que trop duré, au détriment du développement et du bien-être des populations algériennes.

Cuba, autrefois allié indéfectible de l’Algérie, semble avoir atteint ses limites de patience. L’accumulation de dettes impayées, estimée à 450 millions de dollars, liée aux formations militaires et techniques dispensées aux membres du Polisario, a poussé Cuba à brandir la menace d’expulsion.

Cette décision radicale illustre le ras-le-bol de Cuba face aux promesses vides de l’Algérie. La junte algérienne, habituée à agir en toute impunité, se retrouve désormais confrontée aux conséquences de ses errements diplomatiques et financiers.

Cette crise diplomatique pourrait marquer un tournant dans les relations entre Cuba et l’Algérie. Les liens historiques qui unissaient les deux pays semblent s’effriter sous le poids des dettes impayées et des engagements non tenus.

La situation pourrait également avoir des implications significatives pour la région, fragilisant davantage la position de l’Algérie et renforçant l’isolement des terropolisariens.

La crise entre Cuba et l’Algérie met en lumière les contradictions profondes qui minent la politique algérienne et les relations dangereuses entre la junte militaire et les terroristes du Polisario. En sacrifiant les intérêts de son propre peuple pour soutenir une cause illégitime, la junte algérienne se dirige vers une impasse diplomatique et financière. Le Maroc, en revanche, demeure un havre de paix et de stabilité, offrant une solution viable au conflit artificiel du Sahara.

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