dimanche 28 avril 2024

Avocat du diable : Maâti Mounjib légitime l’autodafé du Saint Coran

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Si tous les pays du monde, y compris les occidentaux eux-mêmes, ont témoigné de leur indignation à la suite de l’autodafé du Coran, perpétré devant la plus grande mosquée de Stockholm, au premier jour de l’Aïd-el-Kébir, par un réfugié irakien, une personne, cependant, est sorti pour soutenir et défendre  vigoureusement et sans vergogne aucune cet acte «offensant et irresponsable».

Il s’agit du trublion Maati Mounjib, qui persiste à accuser le Maroc de tous les maux pour détourner l’attention de l’opinion publique et de la justice marocaine de toutes ces sommes d’argent qui ont été transférées sur ses comptes et ceux de sa famille; des sommes colossales qui devaient atterrir dans un centre de recherche non lucratif(le défunt « Centre Ibn Rochd » ) et qui ont été transférées sur les comptes de son directeur qui parle de tout, sauf de l’essentiel détournement sonnant et trébuchant qui lui est reproché.
Quand il s’agit d’attaquer le Maroc, Maâti Mounjib est prêt à épouser toutes les théories quitte à assurer la défense du Diable.
Que dit Maâti Monjib dans sa dernière sortie médiatique? Il reproche au Maroc de s’être  joint à la condamnation générale du monde musulman et d’avoir rappelé son ambassadeur à Stockholm pour consultations « pour une durée indéterminée ».
Maâti Monjib, s’est permis sans vergogne de traiter la décision du Maroc de « populiste » qui n’a d’objectif que de montrer le Royaume comme étant une puissance qui défend lislam…
Mounjib va même jusqu’à accuser le Maroc d' »ignorer » que la Suède est un pays démocratique et que l’auteur de l’autodafé n’est pas européen et qu’il est  un réfugié arabe, avant de considerer que la décision du Maroc est « ridicule »!
La logique/la non-logique de Maâti Mounjib veut que cet acte abominable rentre dans le champs des libertés dexpression d’autant plus qu’il est perpétré par un arabe et non pas par un européen et qu’il est toléré par les autorités et la société civile suedoises! Amen.
Tout ce déchaînement contre le Maroc de la part de Maâti Mounjib n’est pas étrange ni surprenant pour ceux qui savent très bien
les tenants et aboutissants de l’affaire de cet universitaire, dont le salaire mensuel ne dépasse pas les 20.000 dirhams, et qui jongle avec pas moins de huit comptes bancaires.
Maâti Monjib n’a jamais voulu fournir d’explication sur les transferts mirobolants qu’il recevait de l’étranger. Et encore moins sur l’origine des fonds qui lui ont permis d’acquérir trois appartements et plusieurs biens fonciers.

Maâti Monjib a été placé, dans le cadre du dossier d’instruction 141-2020, en détention préventive pour sa présumée implication dans une affaire de blanchiment d’argent, le 23 mars 2021, le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Rabat lui a accordé la liberté provisoire, tout en ordonnant la fermeture des frontières à son encontre et le retrait de son passeport. L’exécution de cette décision a été confiée à la Brigade nationale de la police judiciaire.
La question est d’où provient cet argent? Une question à laquelle devra répondre Monjib. Le reste n’est que littérature y compris ses propos ligitimant l’autodafé du Coran à Stockholm.

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