vendredi 19 avril 2024

Curieuse conception de la liberté pour Ignacio Cembrero, l’auteurs d’articles biaisés et hostiles au Maroc

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Pour le « journaleux » espagnol Ignacio Cembrero, qui traine derrière lui une langue histoire de haine contre le Maroc, tous ceux qui écrivent positivement sur le Royaume ou du moins contredisent la thèse de l’Algérie et du Polisario, sont des « agents » financés par les services de renseignement marocains.

Pire encore ce type, connu depuis toujours par ses attaques systématiques contre les intérêts du Maroc, s’est lancé dans un sale jeu diffamatoire contre le Maroc et même contre certains de ses collègues journalistes espagnols.

C’est ainsi qu’Ignacio Cembrero, connu pour ses écrits tendancieux contre le Maroc, a publié un article accusant la journaliste espagnole Barbara Baron de travailler pour les services de renseignements marocains.

Cembrero a établi cette allégation sur la base d’un raisonnement fallacieux et sans apporter de preuves concrètes à l’appui de ses allégations, ce qui en dit long sur la soi-disant crédibilité de Cembrero qui a une longue histoire dans le domaine de publication de reportages biaisés et hostiles envers le Maroc.

Dailleuirs, le directeur général de L’Observateur du Maroc, qui est nommément cité dans l’article de Cembrero, a défendu la journaliste Barbara Baron et a expliqué que leurs relations étaient motivées par le fait qu’ils soient des inconditionnels des relations amicales entre le Maroc et l’Espagne, et non par une quelconque motivation pécuniaire.

Pire encore, sont les accusation de Cembrero selon lesquelles les services de renseignement marocains sont une « police secrète ». En effet, pour lui la Direction générale de surveillance du territoire est une police tellement secrète que tout ce qu’elle fait est repris par les médias marocains, alors que quand il parle du CNI espagnol, il ne dit pas police secrète espagnole, ce qui souligne le caractère tendancieux et contradictoire de son article.

Le directeur général de L’Observateur du Maroc a également critiqué Cembrero pour ses accusations tendancieuses et contradictoires, en particulier à l’égard de la DGST marocaine, rappelant que Cembrero a également été impliqué dans des scandales passés impliquant l’ancien ministre de l’intérieur Driss Basri.

Dans son attaque contre le Maroc, Cembrero reproche à Barbara Baron d’écrire des articles favorable au royaume, alors que cela relève du droit à la liberté d’expression principe qui n’est pas au goût d’Ignacio qui croit que seul lui a le doit de s’exprimer sans retenue et de dire ce qu’il pense sur tel ou tel sujet même si ça tourne au ridicule, comme d’ailleurs tous ses papiers sur le Maroc.

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