Cerise sur le gâteau. Il s’avère que les spores de Bacillus subtilis se comportent comme des charges qui renforcent le polyuréthane thermoplastique. Comme des barres d’ dans le . Ainsi le TPU biodégradable et vivant proposé par les chercheurs de l’université de Californie demande-t-il plus de force pour être cassé et présente-t-il en même temps une plus grande extensibilité.

Reste tout de même aux chercheurs à étudier dans le détail les produits de la dégradation de ce nouveau plastique par les bactéries. Puis à optimiser l’approche pour une production à l’échelle industrielle. Ils espèrent non seulement réussir à produire du TPU biodégradable par kilos et faire encore évoluer leurs bactéries pour qu’elles décomposent le plastique plus rapidement, mais surtout étendre la méthode à d’autres types de plastiques.