Le Dr Nicholas Meyer, coauteur de l’étude publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences, a précisé : « Cette variabilité de la  et du moment du sommeil peut entraîner un décalage entre notre  et nos rythmes veille-sommeil, ce qui peut accroître le risque de troubles du sommeil et d’effets néfastes sur la santé mentale. »

   Trouver de nouveaux traitements

Une meilleure compréhension de la relation entre le sommeil, les rythmes circadiens et la santé mentale pourrait déboucher sur de nouveaux traitements pour soulager les problèmes de santé mentale. Les chercheurs ont d’ores et déjà identifié la prise de  le soir comme pouvant aider à avancer l’horloge biologique. Les horaires des repas et de l’exercice  pourraient également présenter un impact sur les phases circadiennes.