Les résultats de l’étude sont révélateurs : un retard dans la prise du premier repas de la journée est corrélé à une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires. De plus, consommer le dîner tard le soir est associé à un risque accru de troubles cérébrovasculaires, tels que les accidents vasculaires cérébraux (). Ces constatations confirment l’idée que manger plus tôt et prolonger la période de jeûne  peut avoir des bénéfices pour la santé.

La prochaine étape pour les chercheurs consiste à analyser les échantillons biologiques des participants pour mieux comprendre les processus métaboliques impliqués. L’hypothèse principale est que nos horloges biologiques internes, régulant une partie de notre , sont influencées par nos habitudes alimentaires. En déchiffrant ces mécanismes, cette recherche pourrait ouvrir la voie à de nouvelles recommandations diététiques, soulignant l’importance non seulement de ce que nous mangeons, mais aussi de quand nous mangeons pour préserver notre santé cardiovasculaire.