jeudi 2 mai 2024

Ziane recourt aux services du site espagnol El Independiente pour s’attaquer aux Maroc

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Dans une déclaration « exclusive » accordée, je ne sais comment, au site d’information espagnol El Independiente et publié le 29 janvier 2024, Mohamed Ziane reprend la même diatribe qu’il a déjà servie, contre la plus haute autorité de l’Etat, SM le roi Mohammed VI, lui reprochant de nouveau les mêmes hallucinations mettant en doute son état de santé et sa capacité à gouverner encore et j’en passe…

Dans un article, signé par Francisco CARRIÓN,  le site d’information espagnol El Independiente, connu pour son animosité et sa haine du Maroc, étale les allégations de Mohamed Ziane, ses mensonges et ses acrobaties, qui ne reposent sur aucune réalité et auxquelles nous sommes habitués, et ce sans se soucier de vérifier ces déclarations farfelues  bafouant d’un revers les principes et l’éthique du journalisme.

Nous n’allons pas s’arrêter sur les propos de Mohamed Ziane, qui a perdu tout sens de discernement depuis longtemps et dont les allégations et mensonges sont devenus des sujets de plaisanteries et de ridicule  sur les réseaux sociaux. Cependant, nous allons se concentrer sur les contexte et les raisons de cette énième sortie ratée de Mohamed Ziane, désormais réduit à un rôle de perroquet, répétant à l’envi les mêmes jérémiades, poussant le ridicule jusqu’à prédire l’abdication du Roi et traiter le Maroc d’aujourd’hui de « pur franquisme » …

Rappelons en passant que, Ziane n’est pas à sa première sortie sur les colonne de ce journal espagnol, habitué à la haine du Royaume et aux ritournelles à caractère antimarocain. Il a sur son actif à ce sujet plusieurs antécédents où il n’arrête pas de lâcher des contre-vérités à tort et à travers, dans un aveuglement qui, faute d’être toxique, est devenu pathétique.

Ctte sortie ratée coïncide avec le procès intenté par le secrétaire général du Parti Marocain Libre, Ishaq Charia, à Mohamed Ziane, pour dilapidation et détournement de fonds publics.

En effet, le juge d’instruction chargé des crimes financiers près la cour d’appel de Rabat a décidé de poursuivre Mohamed Zayan, l’ancien secrétaire général du Parti libéral et l’ancien trésorier du Parti libéral, dans une nouvelle affaire pour dilapidation et détournement de fonds publics.

La décision du juge d’instruction du tribunal précité fait suite à la plainte déposée par l’avocat et secrétaire général du Parti libéral marocain, Ishaq Charia, le 5 avril 2021, contre Mohamed Zayan, l’ancien secrétaire général du parti, Rachid Bouroua, le trésorier du parti précédemment cité, Miloud Shatat, avocat au barreau de Rabat, et Mohamed Nachat, le chauffeur de Mohammad Ziyane.

Les personnes soupçonnées d’être impliquées dans cette affaire ont été présentées par des membres de la police judiciaire, lei 10 janvier 2024,  devant le Substitut du Procureur général du Roi près la Cour d’Appel de Rabat, qui a décidé de les poursuivre en cas d’arrestation et les a déférés devant le juge d’instruction chargé des délits financiers, qui a décidé à son tour de poursuivre Mohamed Ziyan et Rachid Boroua, ancien trésorier du Parti libéral, en état d’arrestation, pour dilapidation et détournement de fonds publics et de participation à la perception d’intérêts dans une institution qu’il gère et supervise.

Le juge d’instruction a fixé la date de leur première audience au 8 février 2024, tout en décidant de classer sans suite la plainte contre le dénommé Mohamed Nashet, l’ancien chauffeur de Mohamed Zayan.

Ishaq Charia, secrétaire général du Parti Marocain Libre, avait précédemment déposé une plainte directe en sa qualité de président du parti contre Mohamed Zayan, l’ancien secrétaire général du parti, pour détournement de fonds publics liés au soutien financier apporté par l’État aux partis politiques lors des élections.

Ishaq Charia avait confirmé à l’époque que le parti avait reçu une correspondance du ministère de l’Intérieur immédiatement après la conférence extraordinaire au cours de laquelle un nouveau secrétaire général du parti avait été élu, demandant au parti de restituer une somme d’argent d’environ 120 millions de centimes, qui correspond au total des fonds restants que le parti n’avait pas dépensés grâce au soutien public alloué aux partis.

Charia avait alors confirmé que Mohamed Zayan était responsable de ces gaspillages, et que la nouvelle direction du parti avait fait ce que la loi marocaine lui dictait, en déposant une plainte directe auprès du procureur général du roi, afin d’ouvrir une enquête sur l’affaire.

Voici donc une des raisons qui ont poussé Ziane à recourir aux services de ses amis journaleux ibériens, pour détourner l’attention de l’opinion publique sur ses déboires avec la justice et faire oublier son « glorieux » passé,  où corruption et actes criminels contraires à la loi étaient monnaie courante.

Le sortie de Ziane survient également, après  l’élection du Maroc à la  présidence du Conseil des droits de l’homme, chargé de renforcer la promotion et la protection de ces droits dans le monde, au terme d’un rare scrutin à bulletin secret. L’ambassadeur Omar Zniber a obtenu 30 voix des 47 membres du Conseil contre 17 pour l’autre prétendant à ce poste, l’avocat du régime algérien et ambassadeur sud-africain, Mxolisi Nkosi.

Alors que l’Algérie n’a cessé, un mois durant, de s’agiter, mobilisant à forte dose d’hystérie sa diplomatie et ses médias contre la candidature du Maroc à la présidence du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, le Royaume l’a emporté haut la main contre l’Afrique du Sud. Si le régime algérien a fait preuve d’un activisme hystérique, c’est qu’une défaite de Pretoria face à Rabat est lourde de conséquences.

Le régime vert kaki d’Alger n’a pas avaler cette défaite, et s’est affairé à verser son venin contre le Maroc et ses institutions, exploitant des personnes malveillantes pour ne pas dire « traîtres », pour mener des attaques orchestrées par les ennemis attestés et Faire du Maroc un bouc émissaire, une vieille tactique des l’Algérie visant à détourner l’attention de «l’échec spectaculaire» du régime algérien dans la gestion des problèmes intérieurs et sa défaites face aux succès diplomatique du royaume sur le dossier du différent factice autour du Sahara marocain.

Mohamed Ziane est l’un de ces « traitres », partisans de la cinquième colonne, qui ne se lassent pas de ressasser les mêmes bêtises à longueur de journée. Dans sa déclaration à  El Independiente, Me Perroquet n’a pas oublié d’évoquer l’élection du Royaume à la Présidence du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies tout en veillant à ressasser les ritournelles chères au régime militaire algérien.

Quant à la cause palestinien, devenue par ces temps sujet de prédilection pour tous les foirés de la planètes qui sont à court de crédibilité, nous renvoyons Ziane et ses maitres ibériques aux anales de l’histoire pour savoir le rôle de SM le Roi Mohammed VI, président du Comité Al Qods, dans le soutien à la cause palestinienne en général et à la question d’Al Qods en particulier, loin des slogans vide de sens, scandés par les caporaux algériens, sur la Palestine «Dalima aw madlouma».

En choisissant un média espagnol peu au fait de la réalité du Maroc, il ne fait que montrer sa capacité à induire en erreur ceux et celles qui manquent de discernement.

N’en déplaise à Mohamed Ziane, le Royaume va très bien sous l’égide de SM le roi Mohamed VI, et si il n’a plus d’autre occupation que de verser son venin et celui de son clan d’enfoirés sur le Maroc, il gagnerait à prendre soin de sa santé mentale. Ses sorties s’apparentent de plus en plus au registre de la folie.

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