Quelles sont les implications de cette découverte ? 

Cette étude révèle que la mort neuronale est comme un processus graduel, potentiellement , plutôt qu’un instant définitif. Elle met en  le rôle crucial des neurones pyramidaux de la couche 5 du néocortex, dont la dépolarisation marque le début de l’onde de la mort.

Cette compréhension affine notre perception de la mort cérébrale, nous faisant comprendre qu’un électroencéphalogramme plat n’est pas forcément synonyme de mort définitive. Ces découvertes suggèrent que, sous certaines conditions, il est possible de restaurer les fonctions cérébrales, offrant ainsi de nouvelles voies pour le développement de traitements neuroprotecteurs.

Ces avancées pourraient un jour transformer les pratiques de réanimation en cas d’arrêt cardiorespiratoire, réduisant les risques de  neurologiques et ouvrant la  à des interventions plus ciblées pour préserver les fonctions cérébrales essentielles.