Les chercheurs comptent désormais intégrer d’autres contributeurs à la signature radio de la Terre. Les radars, qu’ils soient civils ou militaires, par exemple. Mais aussi les réseaux Wi-Fi et les satellites de la constellation Starlink. « Ce travail est un superbe exemple de la façon dont une analyse détaillée des propriétés de la technologie humaine — la « technosphère anthropique », comme la surnomment les scientifiques — peut être exploitée pour développer de nouvelles stratégies passionnantes pour détecter les technologies extraterrestres », conclut le docteur Wael Farah.