Réduire de moitié le risque d’infection urinaire dans certains cas

Les chercheurs ont analysé les résultats d’essais contrôlés randomisés comparant la survenue d’infections urinaires chez des personnes consommatrices de canneberge, par rapport à celles prenant un placebo ou un autre traitement à base d’antibiotiques ou de probiotiques. Au total, 8 857 personnes ont été incluses dans l’analyse. Le risque de développer une infection urinaire a été réduit de plus d’un quart chez les femmes souffrant d’infections récurrentes, de plus de la moitié chez les enfants et d’un peu plus de la moitié chez les personnes susceptibles de contracter des infections urinaires à la suite d’interventions médicales. En revanche, les résultats trouvés ne s’appliquent pas à l’ensemble de la population.