Chez les participants avec peu d’activité physique (en durée ou intensité), un sommeil court ou long était associé à des risques accrus de décès toutes causes confondues. Chez les participants avec un volume d’exercice intermédiaire, seul un sommeil court augmentait ces risques. Enfin, pratiquer une activité physique avec un volume élevé et/ou d’une intensité modérée à vigoureuse diminuait les risques de décès, peu importe la durée du sommeil.