GPT-4 est également capable d’analyser le code source des programmes, et peut trouver et expliquer des failles sur des échantillons de très petite taille.

Elle n’était toutefois pas du tout douée pour créer des malwares qui exploitent ces failles. De même, dans des tâches d’ingénierie sociale, une technique de d’escroquerie, l’IA n’était efficace que lorsqu’elle ciblait une victime spécifique pour laquelle elle possédait des informations.

Heureusement, les chercheurs concluent finalement que GPT-4 n’est pas capable de se reproduire, tout du moins sans être entraînée spécifiquement pour cette tâche, et ont mis en place des restrictions pour éviter les abus. Toutefois, il semble que ce n’est plus du domaine de la science-fiction de se demander si son patron n’est pas une IA…