À l’issue du suivi d’un an, la situation s’est légèrement améliorée pour les patients mais leur état de santé reste fragile ; 59 % d’entre eux avaient encore un organe affecté. Les médecins notent que ce sont les problèmes cardiopulmonaires qui se résorbent le plus vite. Si le lien entre la défaillance des organes et les symptômes des patients ne peut pas être confirmé ici, il est sûr que cela constitue un fardeau certain sur leur santé.