jeudi 28 mars 2024

La DGAPR dément les allégations de l’épouse du détenu Raissouni

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La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a réfuté la véracité des accusations portées contre elle par l’épouse du détenu Soulaymane Raissouni, incarcéré à la Prison locale Aïn Borja, faisant état « d’attaques à son encontre et de menaces contre sa famille via des communiqués de presse ».

Dans une mise au point, la DGAPR indique que « la concernée s’est acharnée pendant des mois à diffuser un ensemble de contre-vérités et de mensonges sur son mari, notamment en ce qui concerne son état de santé après +sa supposée grève de la faim+, incitant la Délégation générale à réfuter ses allégations avec la clarté suffisante et requise à travers la publication d’un nombre de mises au point dans le but d’éclairer l’opinion publique et de lever toute équivoque sur les conditions de détention du prisonnier en question ».

« Le recours de la dame précitée à des attaques contre la DGAPR, après des tentatives désespérées d’une meute qui ne recule devant ni le mensonge ni la calomnie, prouve l’échec de ses efforts qui visaient à porter atteinte au secteur de l’administration pénitentiaire et à la réputation de ses fonctionnaires », souligne la mise au point, notant que « l’opinion publique a pris conscience de la nature fallacieuse de ses allégations et de ses tentatives de se poser en victime ».

La DGAPR réitère ainsi sa détermination à « poursuivre sa politique de communication basée sur l’ouverture sur l’opinion publique, en faisant face à tous ceux qui diffusent des mensonges relatifs aux conditions de détention des pensionnaires des établissements pénitentiaires, tout en veillant à appliquer la loi régissant ces établissements et à garantir aux détenus l’ensemble des droits qui leur sont accordés par ladite loi », conclut la même source.

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