jeudi 18 avril 2024

Human Rights Watch:  Une entité clairement hostile au Maroc

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L’ONG américaine Human Rights Watch (HRW) a publié, le jeudi 28 juillet 2022, un rapport de 141 pages foncièrement séditieux a l’égard du Royaume, intitule « D’une manière ou d’une autre, ils t’auront », prétendant le recours par les autorités marocaines a un « manuel technique », pour déguiser la répression des opposants, alliant surveillance, campagnes de diffamation, intimidation et prison après des procès inéquitables.

Fidèle à son animosité systématique à l’égard du Royaume et ses institutions,  » Human Rights Watch » ne fait que confirmer,  à coup de rapports et communiqués au vitriol, son statut désormais indubitable, d’entité clairement hostile au Maroc, car s’attachant obstinément a   une ligne tendancieuse, mensongère et a fortes charges négatives,   pour ignorer  les avancées réalisées par le Royaume sur le registre des droits de l’homme.

A l’instar de « Forbidden Stories », Human Rights Watch a visiblement choisi le même timing -voulu- opportun pour tirer à boulets rouges sur le Royaume et ses hautes institutions, dés lors que le Maroc s’apprête a fêter la glorieuse intronisation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans une vaine tentative de ternir l’image du pays et du bilan du règne du Souverain, en présentant à tort le Royaume comme un pays foncièrement liberticide.

L’on se demande de la fixation maladive sur le Royaume et ses institutions de la part d’une ONG prétendument objective dans sa défense des droits humains à l’échelle mondiale, au moment où elle épargne étrangement le voisin algérien de tout début de critique, bien que les violations des droits humains dans ce pays et  particulièrement   aux camps de Tindouf  sont légions et constamment mis a nu auprès  des Nations Unies.

Avec ce rapport, ses concepteurs qui ont pris le relais des autres entités anti-marocaines à l’instar d’Amnesty International et « Forbidden Stories », ne font que compiler, burlesquement, les allégations ressassées a plusieurs reprises par les différents détracteurs   du Royaume, visant, in fine, a défendre la « horde » Journalistique  antinationale, en dépréciant l’action des institutions nationales (police, justice…), qualifiées d’être d’abattage.

En effet, la lecture de ce long rapport laisse entrevoir une volonté avérée a nuire au Maroc, par le biais d’une pseudo-enquête truffée d’approximations et de contre-vérités à inscrire au passif du scribouillard en rupture de ban, Ahmed Réda Benchemsi (directeur de la communication et du  plaidoyer  pour  le  monde arabe de  « HRW »),  qui a multiplié les allers-retours au Maroc, ne ratant aucune occasion pour déverser son venin contre le Royaume et ses institutions.

Force est de constater que ce rapport est dédié à une clique de nihilistes (Zian,  Monjib, Radi, Soulaimane et Hajar Raissouni, Bouachrine…), donnant foi à des mensonges véhiculés par ces trublions et leurs collectifs de défense, comme pour décrasser ces énergumènes de leurs méfaits en leur conférant la stature de super-citoyens au dessus de la loi.

Ratissant large, « Human Rights Watch » a fait une longue rétrospective citant les cas de plusieurs activistes, fonctionnaires, journalistes, familles d’avocats…. (Hajar Raissouni, fils de Zian et Nouaydi,  Abdellatif Hmamouchi, Ouahiba Khourchech, Fatiha Aarour) pour étayer ses diatribes et mensonges à l’égard des autorités marocaines.

En guise de conclusion à ce corps de mensonges Human Rights Watch étale un ensemble de recommandations insolentes et méprisantes, violant vertement la souveraineté nationale, aux autorités marocaines, au parlement, au parquet général, à la justice du pays, mais également des ordonnances coercitives aux alliés européens, anglais et américains du Royaume, pour boucler la boucle de son attaque savamment orchestrée contre le Maroc.

Comble de la dérision, sont ces recommandations formulées par les concepteurs de ce pseudo-rapport qui ne peuvent être qualifiées que de ridicules notamment l’abrogation de l’interdiction des relations sexuelles adultères et homosexuelles, l’atteinte au régime monarchique et à la religion islamique, la diffamation, l’insulte ou l’offense envers la vie privée de la personne du Roi ou envers la personne de l’héritier du Trône ou des membres de la Famille Royale ou la violation du respect dû au Roi, l’outrage envers les corps constitués, ou encore la double modification des articles 191 et 206 interdisant de porter respectivement atteinte à la sûreté extérieure et intérieure de l’État.

L’objectif occulte de cette ONG hostile au Maroc est trahi par la recommandions de préciser et clarifier les infractions relatives à l’incitation à l’encontre de l’intégrité territoriale en  excluant clairement le plaidoyer pacifique pour l’autodétermination du « Sahara ».

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