vendredi 29 mars 2024

HRW: un autre rapport bourré de données sans fondements réels ni juridiques

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Le dernier rapport de Human Rights Watch, publié ce jeudi 28 juillet 2022, sous l’intitulé:« »D’une manière ou d’une autre, ils t’auront »: Manuel des techniques de répression au Maroc», manque affreusement de rigueur et de sérieux et montre une fois de plus que cette organisation persiste et signe dans  son implication continue dans une campagne politique et systématique contre notre pays, en présentant des données sans fondements réels ni juridiques, en contradiction avec sa démarche qu’elle ne cesse de rappeler, et qui prône l’investigation approfondie sur les violations et la révélation des vérités à grande échelle …

En effet, dans son rapport de 143 pages, Human Rights Watch ne fait que ruminer les contenus de ses rapports antérieurs, pleins de mensonges et allégations fallacieuses à l’encontre du Maroc et de ses institutions.

Une suite de mensonges et d’allégations colportés par les mêmes personnes(les mêmes personnages de l’histoire), notamment Hicham Mansouri, Fouad Abdelmoumni, Hajar Raïssouni, Maâti Monjib, Mohamed Ziane, Taoufik Bouachrine, Soulaiman Raissouni et Omar Radi, que le rapport de Human Rights Watch présente comme étant « des citoyens modèles, des journalistes honnêtes, de fervents militants des droits de l’Homme »!, une histoire à mourir de rire, quand on sait que le Maroc regorge de citoyennes et citoyens qui sont de vrais fervents défenseurs des droits de l’homme et des journalistes professionnels qui font leur devoir sans s’inquiéter ni être victimes de ce que Human Rights Watch appelle « une machine de répression aux rouages insondables et à la puissance inégalable »!

Pire encore, Human Rights Watch n’a pas daigner accomplir son rapport, comme il se doit surtout quand on est une ONG qui prétend la défense des droits humains, par l’écoute où le sondage des avis et témoignages d’autres parties, notamment celles que HRW met sur la sellette avec une légèreté » inouïe.

Sans apporter la moindre preuve de leur existence, l’ONG veut que les autorités mettent fin «à l’utilisation systématique d’une série de pratiques visant à museler et à intimider les dissidents, tout en déguisant le fait qu’il s’agit en fait de représailles pour leurs propos ou leurs activités d’opposants»! du déjà vu en fait, puisque tous les rapports précédents de cette ONG sont pleins à craquer de pareils allégations, mensonges et « assertions » sans fondement ni liens avec la réalité.

Dans son rapport,  Human Rights Watch attaque Toutes les institutions, forces vives et jusqu’aux médias marocains. Et pour cause, HRW veut un exécutif, un Parlement et une justice «sur mesure».

Les recommandation de Human Rights Watch aux autorités et institutions marocaines, sont une narration à dormir debout. En effet, les exemples participant de cet esprit sont nombreux, et démontrent le caractère irréaliste et périlleux de la nature du régime que les auteurs de ce rapport souhaitent voir exercé dans notre pays.

Sans vergogne , HRW  se permet de « recommander » au Maroc de modifier l’article 191 du Code pénal, qui interdit « de porter atteinte à la sûreté extérieure de l’Etat en entretenant avec les agents d’une autorité étrangère des intelligences ayant pour objet ou ayant eu pour effet de nuire à la situation militaire ou diplomatique du Maroc ».

Human Rights Watch voudrait que le Maroc soit une auberge espagnole où tout un chacun pourrait entrer et sortir à sa guise, voire espionner avec l’assurance de ne jamais être inquiété, et, pour couronner le tout, obtenir un sauf-conduit pour toutes les manœuvres visant à nuire à l’armée marocaine et à d’autres institutions du Royaume.

HRW demande d’abolir ou modifier l’article 206 du Code pénal, qui interdit « de porter atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat en recevant une rémunération d’une entité étrangère pour une activité ou une propagande de nature à ébranler la fidélité que les citoyens doivent à l’Etat et aux institutions du peuple marocain »!

Si l’on suit la logique du rapport de HRW, les mercenaires n’auront même plus besoin de cacher les sommes reçues pour porter atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat.

HRW demande que la clause sur l’outrage à un agent de l’Etat dans l’exercice de ses fonctions (article 263 du Code pénal et article 72 du Code de la presse), « soit abolie, ou redéfinie »! En somme, HRW demande de réécrire le Code pénal et d’exposer les personnes dépositaires de l’autorité de l’Etat aux violences et outrages sans qu’elles ne soient protégées par la loi.

Les tribunaux marocains, eux, sont « complices de ces abus en violant les droits à une procédure régulière des accusés pris dans ce réseau de répression et en les condamnant à l’issue de procès inéquitables », prétend HRW.

In fine, le dernier rapport de HRW est digne d’un roman de fiction où les événements se déroulent dans une autre planète que les scénaristes de cette ONG ont inventé de toutes pièces..

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