Le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi, a procédé, jeudi 14 juillet courant, à un mouvement partiel dans les postes de premier niveau de responsabilité au niveau régional.
Ce mouvement s’inscrit dans le cadre de la création d’une nouvelle dynamique concernant les ressources humaines de la Sûreté nationale, et d’une stratégie intégrée visant une gestion optimale de ces ressources et assurant une alternance dans la prise de responsabilité, et permettre ainsi à de nouveaux responsables d’occuper des postes de responsabilité, notamment au niveau du commandement et de la gestion.
Ce mouvement concerne principalement le poste de préfet de police de Fès, du préfet de police de Tanger, en plus du chef de la sûreté régionale à Al Hoceima.
Ces nouvelles nominations se sont caractérisées, selon la Direction générale de la Sûreté nationale, par l’attribution du commandement de la Préfecture de police de Tanger au commissaire divisionnaire, Abdelkebir Farah, qui occupait auparavant le poste de préfet-adjoint de police de Tanger, et ayant une longue expérience au sein de la police judiciaire dans les villes de Tanger, Laâyoune et Agadir.
Abdellatif Hammouchi a également confié le commandement de la Préfecture de police de Fès au préfet de police, Mohamed Oualla Ouhtit, qui a occupé plusieurs postes de responsabilité, notamment à Marrakech et Tanger, et qui succédera à ce poste au Surveillant Général Abdelilah Essaid.
Le préfet de police, Hamid Bahri, a été affecté au poste de chef de la sûreté régionale à Al Hoceima, en provenance de son poste précédent de chef de la sûreté régionale de Ben Dabbab, Ain Qadous, dans la ville de Fès.