Impuissant face aux multiples réalisations, effectuées par le Maroc à différents niveaux et sur tous les plans, le régime militaire algérien, affaiblit par les crises successives, ne trouve que des campagnes médiatiques déchaînées contre le Royaume, lesquelles révèlent au grand jour son incapacité à suivre le rythme de ce développement structurel inclusif du Maroc.
C’est ainsi que, le Maroc est entrain de subir ces jours-ci, une campagne hostile systématique des médias et de la presse du régime vert kaki en Algérie aidé en cela par clique de pays africains gravitant autours de la junte militaire, et ce suite aux événements tragiques qui se sont déroulés dans la ville occupée de Melilla.
Ces attaques, qui visent à ternir la réputation et l’image du Maroc au moment où le Royaume réalise des exploits diplomatiques sur le plan africain, révèle également la haine inouïe du voisin algérien face au rapprochement historique entre les royaumes espagnol et marocain, ce qui a poussé les autorités algériennes à commettre une autre absurdité politique et diplomatique en procédant à la suspension du traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération conclu en 2002 avec l’Espagne, après le soutien de Madrid au plan marocain d’autonomie, comme étant la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour le règlement du conflit artificiel autour du Sahara marocain.
Cette course effrénée des médias algériens pour mener cette campagne malveillante contre le Maroc, doublée d’une joie maligne après ce drame, sans la moindre considération pour les sentiments humains, dénotent la friponnerie des autorités algériennes, qui sont impliquées dans ce drame, après une planification orchestrée depuis l’annonce de la suspension de la coopération avec l’Espagne, d’autant plus que l’Algérie accueille sur son sol des hordes d’africains candidats à l’immigration clandestine afin de les utiliser comme bombes à retardement dirigées d’abord contre le Maroc et ensuite contre l’Espagne.
La clique à la solde de la junte militaire algérienne est de la partie! En effet, les mêmes voix nihilistes(Fos7a – Mohamed Hajib – Donia et Adnan Filali – le juge limogé Mohamed Qandil – Mohamed Ziane – le journaleux Hussein Al-Majdoubi…) se sont empressées pour user de leur « arme médiatique » en vue de l’exploitation malveillante des « événements de Melilla » et incomber la responsabilité au autorités publiques marocaines, les accusant même de monter de toutes pièces cette tragédie, et ce pour servir l’agenda de l’Algérie et ses acolytes, au moment même où le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez salue les efforts consentis par le Maroc dans la lutte contre les mafias de la traite des êtres humains.
Le succès mondialement reconnu du Maroc dans la lutte contre l’activité des réseaux criminels spécialisés dans le trafic de migrants et la traite d’êtres humains ne peut être remis en cause, et ce malgré la campagne effrénée algérienne. En effet, le Maroc se doit d’être « fier » de faire partie des rares pays au monde qui « luttent » au quotidien contre le danger croissant des mafias spécialisées dans la traite des êtres humains malgré les moyens limités dont il dispose.
Force est de rappeler à cette occasion, l’horrible tragédie survenue dans l’État américain du Texas (le 27.06.22), lorsque les corps d’environ 50 immigrés clandestins en provenance Des pays d’Amérique du Sud (y compris des enfants) ont été découverts dans un camion en provenance du Mexique, ce qui en dit long sur la gravité et le danger que représente l’activité des mafias de l’immigration clandestine qui défient le système de sécurité le plus puissant du monde (à savoir les États-Unis d’Amérique).
Cette compagne viscérale contre le Royaume du Maroc est l’expression évidente de l’état de profonde confusion et d’échec total que vit le régime militaire en Algérie, du fait de l’accumulation de crises internes aux niveaux aussi bien politique que social et économique.
L’agissement odieux de ces « chiens de garde », ou la voix de leurs maîtres, est révélateur de la haine viscérale qui anime ceux qui en tire les ficelles envers le Royaume particulièrement après les victoires successives remportées dans le dossier du Sahara marocain.