jeudi 18 avril 2024

Ali Lamrabet agité par la capacité du Maroc à sécuriser la Coupe du monde Qatar-2022

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Toutes les formes d’aversion, d’antipathie et de haine contre son pays sont réunies en Ali Lamrabet, et ce pour la simple et bonne raison qu’on lui avait recommandé un jour de se plier à la loi comme tout citoyen lambda.

C’est alors que commença son déchainement contre son pays natal. Dés lors, tous les succès réalisés par le Maroc sont vus d’un mauvais œil par Ali Lamrabet.

Ainsi, dés que notre journaleux a su que c’est le Maroc qui supervisera la sécurisation de la Coupe du monde Qatar-2022, il s’est emporté, comme atteint de rage, contre le Royaume en faisant recours à son vieux lexique pour régurgiter quelques termes du vocabulaire haineux propre à la presse «vert kaki» de nos «vilains voisins».

Ali Lamrabet n’a pas apprécié que Abdellatif Hammouchi, directeur général de la sûreté nationale (DGSN), également directeur général de la surveillance du territoire (DGST), soit le premier responsable non qatari à visiter le stade principal où se déroulera la finale du Mondial Qatar 2022, inspecter les diverses installations de ce stade et le centre de commandement de cybersécurité.

Pour Ali Lamrabet, le fait de relayer cette visite par la presse n’a pas d’importance et relève d’une certaine propagande. Des propos dignes d’un journaleux qui, tout en ignorant les règles et principes de la profession, excelle dans l’extorsion  et  la disponibilité à vendre ses service aux ennemies étrangers.

Force est de rappeler à notre journaleux que, la visite de Hammouchi à Doha et l’accueil qui lui a été réservé par les hauts responsables qataris, est une information en bonne et due forme pour les vrais professionnels, d’ailleurs le  fait que cette actualité ait défrayé la chronique, au Maroc comme ailleurs, en est la preuve. N’en déplaise à Ali Lamrabet, mercenaire louant sa plume au plus offrant.

Le rôle de la presse est de recueillir l’information, la vérifier, la communiquer et la commenter, selon des règles déontologiques. Les commentaires faits par certains journalistes relèvent de l’exercice de leur droit et liberté, et ce afin de comprendre les tenants et aboutissants du choix du Maroc pour s’acquitter de cette mission honorable qui consiste à apporter son expertise et son savoir-faire en matière de sécurité au Qatar, pays organisateur de la prochaine coupe du monde.

La coupe du monde n’est pas un mince travail pour passer inaperçu, c’est un événement de taille et de grande importance et partant, le sécuriser signifie que le Maroc a acquis une expérience  et développé une grande expertise dans ce domaine; et l’une des missions de la presse est de révéler des données de ce genre, voire mener des enquêtes sur les moyens matériels, scientifiques et humaines ainsi que les capacités dont dispose le Maroc pour sécuriser les manifestations d’une telle ampleur.

Mais Ali Lamrabet n’y voit pas d’importance. Ce qui compte pour lui, c’est que les relations entre le Maroc et l’Espagne soient tendues. Certes, ce mercenaire a toujours nourri et cultivé une haine incommensurable envers son pays, mais il est tout à fait claire que ce ressentiment s’est exacerbé depuis que le Maroc et l’Espagne ont normalisé leurs relations. En bonne intelligence. Cette intelligence qui manque tant au journaleux Franco-marocain Ali Lamrabet!

La preuve en est le comportement de Ali Lamrabet, qui se réjouit dans le rôle de «proxénète»  qu’il ne cesse de camper, lorsqu’il s’est présenté devant le tribunal en tant que témoin dans l’affaire Pegasus,  avant que la justice ne classe le dossier provoquant ainsi un choc pour notre paranoïaque qui a essuyé un autre revers cuisant…

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