mardi 23 avril 2024

Non aux attaques odieuses de la France contre Le Maroc !

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Dans leur campagne hostile et malveillante contre le Maroc, certains médias français, étroitement dépendants de l’État profond et voués à servir ses intérêts, continuent de semer la zizanie, à travers une série d’articles de presse, qui tentent en vain de ternir la réputation du Royaume.

Une hostilité ouverte, sans fondement rationnelle aucun, et une duplicité flagrante dans le traitement de tout ce qui a trait au Maroc, y compris les grands dossiers. Toute cette confusion médiatique est pour desservir des fins et objectifs bien connus, par  des journaux censés refléter les valeurs et principes du berceau de la Révolution française.

 Mais la réalité des médias français est autrement. En effet, lorsqu’il s’agit du Maroc, les journaux parisiens troquent le manteau des valeurs et des mœurs, qu’ils ne cessent de scander exclusivement lors des fêtes nationales et des forums électoraux, afin d’hypnotiser les Français, pour enfiler l’uniforme militaire du général Charles de Gaulle, avec son lot d’arbitraire, d’injustice, d’arrogance odieuse, de tutelle pourrie et manœuvres anormales, en application de la recommandation de « De Gaulle » contenu dans son livre «Le fil de l’épée»: « Il vaut mieux avoir une mauvaise méthode que de n’en avoir aucune ».

Et comme la France gaulliste ne possède plus aucune voie lui permettant de rivaliser honorablement avec le Maroc, elle n’a de  recours que les mauvaises méthodes, pour tenter de faire chanter le Royaume, d’entraver le processus de son développement et de saper son influence montante sur les plans continental et international.

Dans son hostilité déclarée contre le Maroc, la France a recours à un certain nombre d’outils et de bras divers, à commencer par des associations « droitdelhommistes », des organisations d’immigration et des journaux de l’État profond, jusqu’à l’institution judiciaire française, qui s’est récemment avérée n’être qu’une marionnette manipulée, dans les coulisses, et ce après que le tribunal de Paris ait jugé irrecevables les poursuites en diffamation que l’État marocain a intenté contre des médias français dans l’affaire Pegasus.

 Après le coup fatal que la justice française a porté à sa réputation, lorsqu’elle s’est déclarée parti prenante contre le Maroc dans l’affaire Pegasus, les journaux français tentent aujourd’hui de réparer cette réputation ternie, en pointant du doigt le Maroc dans une nouvelle affaire d’espionnage qui a récemment éclaté en Espagne, dont le héros n’est autre que le programme Pegasus.

 Les journaux français se sont empressés d’exploiter l’affaire de l’espionnage des téléphones du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez et de son ministre de la Défense, pour tenter de faire d’une pierre deux coups : D’une part, tenter de légitimer les fausses accusations d’espionnage dirigées contre le Maroc à travers le programme Pegasus, et d’autre part, semer la zizanie entre le Maroc et l’Espagne, dans un plan sournois pour contrecarrer la feuille de route adoptée par les deux royaumes du Maroc et d’Espagne, sous l’égide personnelle de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste ; et c’est là  le but de toute cette compagne médiatique diabolique.

Pour sa part, l’Espagne, a devancé les démarches suspectes de la France pour déclencher la crise entre Rabat et Madrid, en démentant via le ministre de la Présidence, Félix Bolaños, les rumeurs diffusées par la presse française accusant le Maroc d’être à l’origine du piratage des téléphones portables du Premier ministre Pedro Sanchez et de la ministre de la Défense Margarita Robles, à travers le logiciel « Pegasus ».

La nouvelle position de l’Espagne qui soutient clairement et ouvertement l’intégrité territoriale du Royaume, dérange grandement l’Etat profond en France, cause directe de l’aggravation de la situation en Afrique du Nord, en raison des frontières explosives et des conflits territoriaux hérités par les pays maghrébins de l’époque du colonialisme français, dont la région continue de subir encore les conséquences.

 La France, ayant considéré l’Algérie pendant un siècle et demi comme une de ses provinces, n’aurait pas pensé qu’un jour viendrait où elle en serait expulsée de force au début des années soixante du siècle dernier, après une lutte acharnée menée par la résistance algérienne, déclenchée par le soutien militaire et logistique fourni par le Sultan moudjahid, Feu SM Mohammed V.

La France est sortie d’Algérie, laissant ses « caporaux » pour exécuter à la lettre les commandements de « De Gaulle », les leçons de « Lacoste », les plans du « Régime de Vichy », les intrigues de la Conférence de Berlin et les cartes injustes des accords de Sykes-Picot, le tout face à la nation marocaine, qui a beaucoup soufferte pour panser les plaies de ses vastes frontières.

Tous les problèmes que vit aujourd’hui le Royaume, et qui sont l’œuvre des caporaux de la France, constituent la preuve épatante que le premier ennemi du Maroc n’est autre que l’État profond français, qui a exercé un contrôle absolu sur les marionnettes de l’armée algérienne, tout en les poussant à porter atteinte à la souveraineté marocaine sur son Sahara. Apres la débâcle et la défaite flagrante de la diplomatie des caporaux devant le Maroc, il n’est donc pas étonnant de voir la France, elle-même, s’investir sur le champ de bataille, déclarant son hostilité au Maroc par le biais de journaux, d’organisations et de la justice gaulliste.

L’objectif est clair, contrecarrer la victoire marocaine remportée sur la question de son Sahara, et tenter de détruire le soutien explicite que le Maroc a reçu de l’Espagne, ancien force colonialiste de nos provinces du sud, tant son soutien à la proposition d’autonomie aura des effets juridiques considérables, dont le retrait du dossier du Sahara de la 4ème Commission de l’Assemblée générale de l’ONU, ainsi les caporaux et avec eux la France, perdront leur dernière carte dans la bataille contre le Maroc.

Par conséquent, l’état d’hystérie, et la rage qui s’empare des médias français contre le Maroc, et leur tentative de creuser des fossés entre les deux royaumes du Maroc et d’Espagne, et de discréditer le Maroc en exploitant l’affaire « Pegasus d’Espagne », tout cela montre clairement que notre prochaine bataille, pour laquelle on doit bien s’y préparer, sera avec la France.

Cette France, qui nous attaque par l’intermédiaire des feux d’artillerie de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), afin de recruter des mercenaires, les naturaliser et les inciter à porter atteinte aux intérêts et à la souveraineté du Maroc; Cette France qui a fait de la justice de l’État profond, de la presse des partis extrémistes et des organisations « droitdelhommistes » un bouclier pour faire chanter le Royaume. La France est allé, dans sa haine annoncée contre le Maroc,  jusqu’à  tenter de creuser des écarts entre Rabat et ses voisins, pour contrecarrer son influence économique et spirituelle montante en Afrique et sur le plan international.

Notre grande bataille est sur le point d’éclater contre l’Etat-français « Voyou », et elle sera plus féroce; le Royaume du Maroc pourra renverser la table avec toutes les précieuses tasses et assiettes qui se trouvent dessus, et la France devra payer la facture de cette perte catastrophique. Les français savent très bien qui nous sommes, et faute de ne pas pouvoir assimiler les leçons rapidement, il serait peut-être temps de leur montrer de quel bois nous nous chauffons. Nous détenons assez de dossiers accablants qui les embarrasseront, et pourtant nous nous abstenons de les exploiter, car nous sommes un pays à l’histoire et aux valeurs ancestrales. Mais, autant nous sacralisons les principes de notre nation ancestrale, autant notre réponse à l’insulte française sera brutale, avec plus de rigueur, de cruauté et de fermeté…

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