Le petit nain revient à sa passion de nuire aux autres, et pour plaire à ses maitres et commanditaires, cette foi-ci il le fait avec un excès de zèle.
Fidel à son style journalistique imbibé de populisme et d’infantilisme politique, qui cherche toujours à nuire au Maroc quitte à s’ériger en avocat du diable, comme il l’a souvent fait en s’alignant du coté de la junte du Polisario, à laquelle il rend d’innombrables services en couvrant ses actualités, s’invitant à ses activités et publiant des informations pro-polisario sur son site électronique.
Connu ces derniers temps, pour ses éditoriaux haineux contre les Marocains, Anouzla, puisque c’est de lui qu’il s’agit, s’est muré longtemps dans un mutisme total sur le despotisme du colonel Kadhafi à la solde duquel il travaillait des années durant, avant de trouver d’autres maitres à servir ignoblement et volontairement, puisque il s’agit là de servitude volontaire chère à notre journaliste déboussolé.
Orphelin, N’ayant plus d’autre maître à servir et ne supportant plus la condition abominable de rōnin, qu’il est devenu, il voulait en finir avec sa vie et ne trouvait pas de manière plus adaptée pour le faire, que d’attaquer la monarchie plusieurs fois millénaire et le peuple marocain, qui s’y attache avec ferveur, en le qualifiant de serf volontaire et en qualifiant le Roi de despote et d’esclavagiste..
Le nain n’a trouvé de référence et d’appui pour attaquer la monarchie et le peuple que les écrits d’Etienne de La Boétie dont le renom s’attache à un écrit composé » en sa première jeunesse « , » à l’honneur de la liberté contre les tyrans « , «intitulé discours sur la servitude volontaire» qui fut rebaptisé « le Contr’Un » au dernier quart du XVIe siècle.
Pour rappel, La résistance à la misère et à l’oppression ne passe pas, pour La Boétie, par la violence et le meurtre. La servitude des peuples est volontaire; ce sont eux qui » se coupent la gorge » et qui, en acceptant le joug, dénaturent la nature humaine, pétrie de franchise et de liberté. Les hommes échapperont donc à leur horrible sujétion en reconquérant leur vérité première, leur » nature franche « .
Le lecteur comprendra vite quel rapport entre ces idées et le Maroc de nos jours et que Ali Anozla n’arrive pas à comprendre encore.
Il n’est pas difficile donc, de bien comprendre les causes de tous cet acharnement contre le roi et le peuple de la part du rōnin Ali, tant ses mot le trahissent et son style révèle très bien sa déception et celle de ses maitres après la réussite du Maroc dans le chantier de reformes institutionnelles et constitutionnelles et le défis relevé par le Roi et le peuple marocain pour barrer le chemin aux fouteurs de troubles qui n’avaient d’autres desseins que la déstabilisation du pays alors qu’il se frayait le chemin de la démocratisation et de la construction d’un Etat de droit avec sérénité.
Cet enjeu relevé par le Maroc dans un contexte caractérisé é par des bouleversements et des émeutes qui ont eu comme conséquences le départ des vrais tyrans et dont l’un d’entre eux n’était autre que le maitre d’Anouzla, à savoir le Roi des Rois d’Afrique colonel Kadhafi.
Le recours au discours de La Boétie, écrit il y’a de ce là plus de cinq siècles, est un anachronisme eu égard, d’une part, à l’évolution de la pensée, les critiques et les différentes pistes de solutions proposées à la question «la boétienne» par les Discours de certains auteurs modernes comme John LOCKE et Jean-Jacques ROUSSEAU, sans oublier Spinoza, et contemporains comme Michel FOUCAULT, Louis ALTHUSSER ET Judith BUTLER. D’autre part, l’évolution de la monarchie au Maroc, ses spécificités, ses liens avec le peuple et les vastes reformes entreprises par le Maroc, grâce à la vision du souverain Mohamed VI, tant politiques, qu’économiques et sociales, montre très bien le caractère désuet d’un tel discours tenu par Ali Anouzla.
Tout ceci montre bien que la chronique de Anouzla est commanditée par ses maitres francophones qui vivent à l’étranger et qui lui dictent ce qu’il doit dire et ce qu’il doit faire, lui qui ne pige rien en français, étant arabisant, d’ailleurs la traduction arabe du titre du discours de La Boitie révèle clairement son niveau en langue de Molière.
En s’interrogeant sur les motivations réelles des agissements incongrus de Anouzla, on s’aperçoit bien vite qu’il a un complexe qui serait dû à sa personne et son histoire vide de sens, puisque Ali Anouzla n’a jamais milité pendant les années où il fallait le faire et où il y avait vraiment un déficit démocratique au Maroc, son rôle alors consistait à traquer l’odeur de l’argent et servir ceux qui en détenaient, et cautionner les politiques des despotes panarabistes qui en donnaient pour leurs esclaves dont Anouzla faisait parti.
Anouzla, et dans les efforts de ses maitres pour semer la zizanie au Maroc, n’a pas ménagé ses efforts pour dénigrer les progrès réalisés par le royaume dans le domaine des droits de l’homme, et va jusqu’à pousser le bouchon trop loin, sachant qu’il ne sera pas arrêté ni jugé dans un Maroc qui a bien évolué dans le domaine du respect des libertés et des droits fondamentaux..
En s’alignant de manière flagrante sur les thèses des séparatistes et leurs positions qui ne cessent d’essuyer des échecs flagrants, Anouzla a mainte fois exprimé ses idées et son attitude antinationale, alors que des centaines de sahraouis rallient jour après jour la patrie mère pour participer aux chantiers de réforme et de développement qui s’y réalisent.