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De grandes familles telles El Fassi, Douiri, Boucetta et d’autres ont fait la loi pendant longtemps au sein de ce parti .Aujourd’hui on assiste à la tentative d’une autre génération de prendre la relève ; Les Chabat, Soussi, …, essaient de percer ce club très influent, pas seulement à l’intérieur du parti, mais également au niveau du pays dans son ensemble.Cela reste cependant un doux souhait qui va être difficile à se concrétiser.
Le club des puissants a déjà pris de sérieuses dispositions ; on le remarquera avec le retour en force d’Abdelwahed El Fassi, le fils du leader emblématique Allal le fondateur. Celui-ci remonte aujourd’hui en flèche et fait déjà la pluie et le beau temps au sein du comité exécutif .Le départ de son beau-frère, Abbas El Fassi, est ainsi une simple affaire de famille, surtout quand on constate que le jeune Ghallab est désormais président du perchoir ; le deuxième beau-frère d’ABBES n’est autre que Mohamed El Ouafa qui vient de rentrer du poste d’ambassadeur à l’étranger pour assumer la responsabilité d’un ministère mastodonte ; les enjeux clientélistes de l’Education nationale n’ont jamais été plus présents , mais le même Ouafa vient de rejoindre l’exécutif du parti à la rescousse du clan Abbas.
Le neveu d’Abdelwahed et gendre de Abbas, Nizar Baraka, fait également partie du comité exécutif. Sans oublier Abdelmajid El Fassi, et Fihr El Fassi les deux fils d’Abbas qui occupent chacun des postes clés au niveau de la structure du parti. Le prochain congrès se prépare sous ces auspices là ; quoiqu’en disent les autres prétendants !