SM le Roi Mohammed VI a instauré, depuis Son accession au Trône en 1999, un “modèle innovant” de coopération Sud-Sud, notamment avec les pays africains.
Ce modèle consiste, en particulier, en la signature de plus de mille accords de coopération avec les pays africains au cours des deux dernières décennies, outre la formation de 25.000 étudiants africains au sein des universités et écoles supérieures marocaines.
Sous la conduite de SM le Roi, Maroc a déployé plus d’efforts en faveur de la promotion du continent africain à travers le développement de relations de coopération Sud-Sud basées sur le principe d’intérêt commun en mettant à profit les grandes potentialités du continent.
Le Maroc pilote deux projets stratégiques pour réaliser l’intégration du continent. Il s’agit, d’une part, de la mise en place d’unités de production d’engrais en Ethiopie et au Nigeria, en vue d’augmenter la production agricole et assurer la sécurité alimentaire, et du projet de gazoduc géant reliant le Nigeria au Royaume, de l’autre.
Dans un message adressé par SM le Roi, en mars 2019, aux participants au Forum Crans Montana à Dakhla, le Souverain a souligné l’importance de former les jeunes en Afrique pour concrétiser les potentiels économiques actuels.
SM le Roi, a rappelé aux participants de cette édition du Forum tenue sous le thème “Bâtir une Afrique puissante et moderne au service de la jeunesse”, la décision du Royaume d’annuler l’ensemble des dettes des pays les moins avancés du continent envers le Maroc, outre la mise en place de mesures de facilitation des importations en provenance de ces pays.
La ville de Dakhla, “perle du Sahara marocain”, a su devenir, en abritant le Forum Crans Montana, une terre d’échange et de dialogue pour l’édification d’une Afrique prospère, développée et intégrée qui tire profit de tous ses atouts.
Le mentor du parti espagnol d’extrême gauche Podemos, Jorge Verstrynge Rojas, a souligné, en marge du Forum, que “le Sahara est marocain et l’a toujours été”, ajoutant que “le peuple sahraoui n’existe pas. Il s’agit d’une création de l’Algérie et d’une partie de la gauche espagnole qui n’arrive pas encore malheureusement à prendre conscience de la situation réelle de ce territoire marocain”.